« Aller en médiation, ça me fait peur. »
Que faire pour cette personne ?
Qu’il s’agisse d’un conflit dans la sphère privée (famille, voisinage, école) ou dans la sphère professionnelle, l’autre peut impressionner.
Par exemple
- Parce qu’il semble dominant
- Parce que la personne peut avoir le sentiment de « ne pas faire le poids »
- Parce que je conflit a pris une tournure traumatisante.
Mais il peut être dommageable de se priver de la médiation !
La personne concernée, cette personne qui a peur, peut se sentir comme prise dans une nasse. Impossible de s’en sortir, impossible d’imaginer une issue. Seule peut-être la voie judiciaire peut apparaitre comme une hypothèse envisageable mais…
- Cela prend du temps, c’est long. Et pendant ce temps le conflit reste présent, il faut faire avec
- Cela peut être cher
- Cela impose d’accepter la décision d’un juge, qui va se positionner en droit puisque c’est son rôle. Et c’est là sans doute l’argument principal: le juge peut rendre un avis insatisfaisant pour la personne concernée, qui repartira sans sentiment de réparation, et/ou pour l’autre, qui va peut-être alors contester la décision. La procédure juridique va alors continuer.
La médiation, selon la méthode de la médiation professionnelle, offre à la personne la liberté de choisir, en entente avec l’autre, la solution au conflit, celle qui lui convient et qui le satisfait. Alors, comment vaincre cette peur d’y aller ?
Pour que chaque personne puisse choisir la médiation, Kintsugi Médiation et Qualité Relationnelle met en place un partenariat avec Véronique Tanchoux, qui pratique l’evopédagogie®.
Cette méthode, basée sur les connaissances en neurosciences, permet de lever les blocages émotionnels par une mise en mouvement de la personne. Son principe est de diagnostiquer la stratégie de compensation du corps et de mettre en place des exercices ciblés pour acquérir de nouvelles compétences, accéder à l’équilibre et libérer son potentiel.
Il sera proposé à la personne qui n’ose pas aller en médiation une séance d’une heure trente pour libérer ce blocage émotionnel, puis de laisser cette séance faire son effet environ deux semaines avant d’entrer en médiation.
Si vous êtes dans cette situation, et que vous souhaitez en savoir plus, contactez-moi en suivant le lien